Découverte de Valencia :
LES INCONTOURNABLES DE @BANDE D'AVENTURIERs
Mi-avril, Kevin, Sarah, Léo et Isaac de @Bande d'aventuriers sont partis en van à la découverte de différents pays d'Europe. Pour cette expérience unique, J&JOY s'est immiscée dans leurs valises, l'occasion pour la marque de faire le tour du monde !
Leur premier stop : l'Espagne.
Après plusieurs arrêts, c'est à Valence qu'ils ont déposé leurs valises pour un city-trip. Au terme de ce court séjour, c'est unanimement qu'ils nous ont avoué avoir été séduits par Valence. Pour l'occasion, nous leur avons demandé qu'ils nous partagent leurs incontournables.Préparez-vous à voyager en plein coeur de l'Espagne et qui sait, un futur city-trip en famille pourrait bien s'imposer !
"Notre road-trip en camping-car et en famille passe par l’Espagne durant 4 semaines. L’occasion de découvrir des trésors sauvages et naturels, mais pas seulement. L’Espagne, c’est aussi des villes surprenantes et très riches culturellement
Les « city trips » n’ont habituellement pas notre préférence car ils sont rarement adaptés à de jeunes enfants. Mais vous constaterez que Valencia, 3e ville espagnole après Madrid et Barcelone, balaie ce préjugé et nous a réservé de superbes surprises.
Nous y avons passé deux journées, ce qui était suffisant pour Léo (5) et Isaac (3). Le rythme en city trip est soutenu. Mais si vos compagnons de voyage vous permettent un 3e voire un 4e jour, ne vous en privez surtout pas.
Voici nos incontournables pour une découverte, avec enfants, de la belle Valencia."
Découvrir la ville à vélo
Bien sûr, il y a des métros, des bus, des voitures, mais se priver de son vélo à Valence serait dommage.Oubliez les classiques pistes cyclables en bord de route, et parfois dangereuses : Valencia a développé un réseau cyclable autonome. Avec des mini bernes, pour le séparer des autres véhicules. Des voies à double sens. Ses propres feux de signalisation. Une priorité toujours (ou presque) donnée aux cyclistes. Et en bonus ? Une ville avec très peu de reliefs, vos mollets vous remercieront.
Nous étions inquiets de rouler à vélo en ville avec deux jeunes enfants : nous en sortons enchantés. C’est beaucoup plus relaxant, on se déplace rapidement d’un point A à un point B et, vous en conviendrez, on profite davantage de la ville qu’avec le métro…
Léo et Isaac valideront : ils ont profité du décor sans avoir à marcher des kilomètres, parfois longs pour leurs petites jambes. Ils criaient « hola ! » aux passants, amusés par notre étrange convoi.
Pour faciliter le parking, nous avons laissé notre camping-car en dehors de la ville et avons pris le train avec les vélos (jusque la gare de Valencia Nord).
Une expérience que vous ne regretterez pas.
Se promener dans les Jardins de la Tùria
1957. Valence est construite autour du fleuve la Tùria qui y trouve son embouchure. D’importantes inondations ont lieu et une partie de la ville est sous eau.En 1960, la Ville décide de détourner le lit de la Tùria à quelques kilomètres de là.
Mais que faire avec l’ancien couloir asséché, qui entoure le cœur historique de la ville ? C’est la naissance des « Jardins de la Tùria ».
D’ancien fleuve, nous voilà dans un parc public de 110 Ha, quelques mètres en-dessous du niveau de la ville. Baladez-vous et découvrez ses espaces verts, ses fontaines, son skatepark, ses terrains d’entrainement de football, ses plaines de jeux (dont la surprenante plaine de Gulliver, en travaux de rénovation lors de notre passage).
Et comme le reste de la ville, une piste cyclable traverse l’ensemble des Jardins.
Passez-y comme 15 minutes, ou une journée, c’est comme il vous plaira.
Déambuler dans les ruelles de la vieille ville (Ciutat Vella)
Ce n’est pas une ville-musée. Ni une fourmilière de touristes. Mais un cœur de ville qui vit. Au rythme de ses marchés, de ses ruelles, de ses bars à tapas.Engouffrez-vous dans le grand Marché Central, buvez une Sangria sur une terrasse de la Plaza de la Virgen, visitez l’ancienne Bourse, partez à la recherche de l’art urbain dans le Barrio del Carmen, mangez une paella à la croisée de deux rues piétonnes.
On ne vous en dit pas plus. Nos photos vous donnent un aperçu. Et vos yeux feront le reste.
S’émerveiller dans la Cité des Arts et des Sciences
Vue de loin, de près ou du haut, la Ciudad de las Artes y las Ciencias vous surprendra assurément.Il s’agit d’un ensemble de 5 bâtiments, dont l’architecture futuriste vous laissera sans voix.
Pour vous y rendre, longez les Jardins de la Tùria (à vélo bien sûr) jusqu’à l’extrême Est. Le complexe est précisément construit sur l’ancienne embouchure de la Tùria.
Sur place, quand vous aurez terminé d’envoyer des photos à Mamy (pour montrer combien c’est beau), laissez vos envies vous guider : la visite du planétarium dans l’Hemisfèric en forme d’oeil, le musée de sciences en forme de squelette de dinosaure, le jardin botanique, l’aquarium en forme de nénuphar.
Visiter « l’Oceanogràfic »
Depuis qu’Isaac a vu Le Monde de Nemo, il ne parle que de « Monsieur Raie » et de Requins. L’occasion est trop belle que pour passer à côté : nous passons une demi-journée à l’Oceanographe, plus grand aquarium d’Europe.Le parc est séparé en plusieurs espaces entre lesquels vous circulez à votre guise.
Le clou du spectacle se passe au dolphinarium avec une valeur sure : le spectacles de dauphins. Veillez à arriver 20-30’ avant le début de la présentation car les places sont limitées.
Après ces deux journées à Valence, nous pensons que nos aventuriers vont tomber de fatigue dans le train. Il n’en est rien. Car n’oubliez jamais, ce n’est pas la destination qui compte, c’est le voyage.
Si nous revenons à Valencia, nous ne raterons pas …
Le Parc de l’Albuferra , réserve naturelle. Il s’agit une lagune séparée de la mer par une étroite bande terrestre, dont la faune et la flore sont d’une grande richesse.Le Musée des sciences (à la Cité des Arts et des Sciences) : nous en avons lu beaucoup de bien. Sa devise est « Interdit de ne pas toucher, de ne pas penser, de ne pas sentir ». Avec une telle devise, il est assurément coché pour notre prochain passage.